Julian Milkis : « Le Maroc, un modèle mondial de paix et d’unité culturelle » (Ambassadeur Culturel )

À l’occasion du 5e anniversaire des Accords d’Abraham, Julian Milkis, clarinettiste de renommée internationale et ambassadeur culturel, partage son regard admiratif sur le Maroc, qu’il considère comme un pont essentiel entre les civilisations et un exemple de leadership pour la paix.

« Le Maroc, sous la direction de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, montre au monde comment l’harmonie peut se vivre au quotidien, poursuivant l’héritage des Rois Hassan II et Mohammed V », affirme Milkis. Pour lui, le message clé est clair : « Unir » pour construire un avenir de paix, prospérité et amour, notamment à travers la musique et la culture.

Passionné par la ville de Casablanca, immortalisée par le célèbre film, il rêve de s’y produire et souligne la richesse unique de sa gastronomie et de son ambiance. Mais son souhait va bien au-delà : « J’aimerais débuter par Rabat, la capitale, puis découvrir et jouer dans toutes les villes du Maroc, de Tanger à Laâyoune, Essaouira ou Fès, partout où l’esprit artistique est vivant. »

Son projet actuel, centré sur la musique du compositeur géorgien Giya Kancheli, illustre sa conviction que la musique « guérit les cœurs et les âmes ». Il est prêt à la partager avec les publics marocains dans le cadre d’une tournée internationale.

Julian Milkis voit dans le Maroc un acteur culturel mondial, un « connecteur global » grâce à sa position géographique unique en Afrique du Nord, à proximité de l’Europe, et à sa culture multiple, ancienne et moderne. Il loue les festivals marocains comme Jazzablanca, Mawazine ou le Festival de Fès des Musiques Sacrées, qui incarnent « l’ouverture du Maroc au monde ».

Le musicien souhaite aussi s’immerger davantage dans la musique traditionnelle marocaine — gnawa, hassani, amazighe ou andalouse — et envisage avec enthousiasme une collaboration entre artistes marocains et américains, avec une tournée musicale allant de Tanger à Lagouira.

Enfin, il rend hommage à l’héritage historique du Maroc dans la protection des citoyens durant la Seconde Guerre mondiale, en particulier sous le règne du Roi Mohammed V, et célèbre la continuité du rôle pacificateur des rois Hassan II et Mohammed VI.

Julian Milkis conclut avec émotion : « Le Maroc est dans mon cœur. La musique n’est pas qu’un art, c’est un vecteur de mémoire, de résistance et de réconciliation. Je suis impatient de revenir en novembre, notamment pour honorer la Marche Verte, et de contribuer à faire rayonner encore plus la richesse culturelle marocaine. »

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